DU BOURGEON AU MERISTEME :
Un bourgeon donne naissance aux branches, aux feuilles, aux fleurs et aux fruits.
Il est la représentation de l’intégralité de la plante, c’est le totum de celle-ci.
Le bourgeon contient l’intégralité des informations de la plante :
informations génétiques, les différents tissus, et les différentes propriétés ; tout ceci est lié aux cellules du méristème contenues dans le bourgeon.
Ce méristème est le moteur de la construction de la plante
(lire « aux origines de la plante » de Francis Hallé)
A partir d’un élément indifférencié (le méristème), la plante va construire un arbre ou un arbuste.
Les médecins s’intéressent aux cellules-souches indifférenciées pour guérir certaines maladies, et le méristème est en quelque sorte une similitude végétale des cellules-souches : il est formé de cellules capables de se différencier selon ses besoins.
C’est pourquoi le Docteur Pol Henri compara ces bourgeons à des embryons et inventa le terme de PHYTEMBRYOTHERAPIE
Au niveau biochimique, ces bourgeons contiennent une grande quantité d’acides nucléiques, minéraux, oligo-éléments, vitamines, enzymes, facteurs de croissance, hormones végétales, et de plus le méristème s’adapte à son environnement ce qui veut dire qu’une plante aura une évolution différente selon ses conditions de vie.
La PHYTEMBRYOTHERAPIE donne la capacité à chaque patient de réagir selon ses besoins, et d’aller puiser dans l’information indifférenciée des cellules souches des méristèmes du remède.